• Avant d'aller dans notre location , nous avons découvert un parc où coule un cours d'eau "L'Ozon" . Lilou la voyant a couru s'y plonger , quel régal !!

    Petit périple

    Petit périple

    Petit périple

    Petit périple

    Un peu de fraîcheur sous l'ombre des arbres .

     

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  • Nous voilà partis quelques jours découvrir cette fameuse exposition à Carpentras .

    Festival XXL d'art contemporain 

    "Y'A DE L'ART DANS L'AIR"

    3 EXPOS XXL dans le ciel de Carpentras !!

    Thème proposé "Milles et une couleurs" 

                        1. Les papillons 

    Carpentras


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Carpentras

    Carpentras

    Carpentras

    Carpentras

    Carpentras

    Nous avons fait tout le tour de la ville pour chercher mon tableau et voilà que soudain Maurice se rend compte qu'un tableau se trouve d'un coté et un autre de l'autre côté .J'avais demandé où se trouvait ce fameux tableau "L'automne", un organisateur m'avait indiqué le nom de la rue , nous ne l'avions pas trouvé .Il a fallu revenir sur nos pas , avec une chaleur horrible , nous transpirions à grosses gouttes .

    Enfin le voilà !

    Le bâtiment derrière le tableau est l'office du tourisme , point de départ de notre recherche !

    Carpentras

     

    2. Les  parapluies de Carpentras 

    Carpentras

    Carpentras

    Carpentras

     

     

    3. Les bulles du pape 

    Carpentras

     

    Carpentras

     

    Et quelques attrape-ves 

    Carpentras

     

    Une bien belle exposition originale !!

     

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  • La prochaine fois que vous vous laverez les mains et que vous trouverez la température de l'eau pas vraiment agréable, ayez une pensée émue pour nos ancêtres. Voici quelques faits des années 1500 :

     La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils prenaient leur bain annuel en mai et se trouvaient donc encore dans un état de fraîcheur "raisonnable" en juin. Mais évidemment, à cette époque, on commençait déjà à puer légèrement et c'est pourquoi la mariée tentait de masquer un tant soit peu son odeur corporelle en portant un bouquet. C'est à cette époque qu'est née la coutume du bouquet de la mariée.


     Pour se baigner, on utilisait une grande cuve remplie d'eau très chaude. Le Maître de maison jouissait du privilège d'étrenner l'eau propre ; suivaient les fils et les autres hommes faisant partie de la domesticité puis les femmes et enfin les enfants... Les bébés fermaient la marche. À ce stade, l'eau était devenue si sale qu'il aurait été aisé d'y perdre quelqu'un.. D’où l'expression Jeter le bébé avec l'eau du bain !


     En ces temps-là, les maisons avaient des toits en paille, parfois même la maison n'était qu'un toit. C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se tenir au chaud. C'est donc là que vivaient les chats et les petits animaux (souris et autres bestioles nuisibles), dans le toit. Lorsqu'il pleuvait, celui-ci devenait glissant et il arrivait que les animaux glissent hors de la paille et tombent du toit. D'où l'expression anglaise "It's raining cats and dogs" ("Il pleut des chats et des chiens").


     Pour la même raison, aucun obstacle n'empêchait les objets ou les bestioles de tomber dans la maison. C'était un vrai problème dans les chambres à coucher où les bestioles et déjections de toute sorte s'entendaient à gâter la literie. C'est pourquoi on finit par munir les lits de grands piliers afin de tendre par-dessus une toile qui offrait un semblant de protection. Ainsi est né l'usage du ciel de lit. Bien évidemment, les plus pauvres devaient s'en passer...
     

     À cette époque, on cuisinait dans un grand chaudron perpétuellement suspendu au-dessus du feu. Chaque jour, on allumait celui-ci, et l'on ajoutait des ingrédients au contenu du chaudron. On mangeait le plus souvent des légumes, et peu de viande. On mangeait ce pot-au-feu le soir et laissait les restes dans le chaudron. Celui-ci se refroidissait pendant la nuit et le cycle recommençait le lendemain. De la sorte, certains ingrédients restaient un bon bout de temps dans le chaudron...
     
     
     Les plus fortunés pouvaient s'offrir des assiettes en étain. Mais les aliments à haut taux d'acidité avaient pour effet de faire migrer des particules de plomb dans la nourriture, ce qui menait souvent à un empoisonnement par le plomb (saturnisme) et il n'était pas rare qu'on en meure. C'était surtout fréquent avec les tomates ce qui explique que celles-ci aient été considérées pendant près de 400 ans comme toxiques.
     

     Le pain était divisé selon le statut social. Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.
     

     Pour boire la bière ou le whisky, on utilisait des gobelets en plomb. Cette combinaison mettait fréquemment les buveurs dans le coma pour plusieurs jours !
     

     Et quand un ivrogne était trouvé dans la rue, il n'était pas rare qu'on entreprenne de lui faire sa toilette funèbre. Il restait ainsi plusieurs jours sur la table de la cuisine, où la famille s'assemblait pour boire un coup en attendant que l'olibrius revienne à la conscience : d'où l'habitude de la veillée mortuaire.
     

    La Grande-Bretagne est en fait petite et à cette époque, la population ne trouvait plus de places pour enterrer ses morts. Du coup, on déterra des cercueils et on les vida de leurs ossements qui furent stockés dans des bâtiments ad hoc afin de pouvoir réutiliser les tombes. Mais lorsqu'on entreprit de rouvrir ces cercueils, on s'aperçut que 4 % d'entre eux portaient des traces de griffures dans le fond, ce qui signifiait qu'on avait enterré là quelqu'un de vivant.
     
     Dès lors, on prit l'habitude d'enrouler une cordelette au poignet du défunt reliée à une clochette à la surface du cimetière, et l'on posta quelqu'un toute la nuit dans les cimetières avec mission de prêter l'oreille. Et c'est ainsi que naquit là l'expression «sauvé par la clochette».

     C'est une grenouille en marbre sculptée sur un bénitier à l'entrée de la cathédrale de Narbonne qui est à l'origine de l'expression imagée ‘’grenouille de bénitier’’. !!!!

     ....Qui a donc dit que l'histoire était ennuyeuse ??..!!
     
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  •  

     Louis XIV n’a pris que deux bains dans sa vie : un le jour de son mariage et l’autre, la veille de sa mort. On a dû se demander si cela n’avait pas été la raison de sa mort !!! C’est qu’il a vécu fort longtemps pour l’époque, le vieux renard, 76 ans. et sans douche !

     Alors, to be clean or not to be?

     Les dames faisaient pipi debout les jambes écartées, en raison de leur encombrantes jupes, ça devait quand même éclabousser sur leurs bas et chaussures, et on n’ajoute pas certaines périodes du mois.

     Les escaliers de Versailles servaient de latrines, on se soulageait là où on se trouvait, alors au 17e siècle aussi, on se parfumait beaucoup.`

     - On portait vêtements de satin et bas de soie, sans sous-vêtements. Les changeait-on souvent ?? That is the question....
     
     - Mais l’amour, étant toujours l’amour, les puanteurs, les maladies de peau, les poux et puces et punaises ne gênaient point les effusions. On se grattait mutuellement !!

     Ceci ne figure pas dans les manuels d'histoire.
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  • <<<La Cigale, s'étant déconfinée tout l'été,
    Se trouva fort dépourvue
    Quand la 2e vague fut venue.
    Pas un seul paquet
    De Pâte ou de papier cul.
    Elle alla crier famine
    Chez la fourmi sa voisine,
    La priant de lui prêter
    Quelques masques pour se protéger, jusqu'à la fin de ce bordel.
    Je vous paierai, lui dit-elle,
    Avant Noël, foi d'animal,
    Intérêt principal.
    Mais la fourmi n'est pas prêteuse ;
    C'est là son moindre défaut.
    « Que faisiez-vous au temps chaud ?
    Dit-elle à cette emprunteuse.
    — Nuit et jour à tout venant,
    Je me collais, je sortais et me joignais aux foules.
    — Vous vous colliez, sortiez et vous alliez dans des foules ?
    J'en suis fort aise...
    Eh bien, toussez maintenant. >>>
    — Jean de la Quarantaine...

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  •  

         C’est terrible, je suis bien obligé de le reconnaître : je suis raciste. Je viens de m’en rendre compte en mettant en route ma lessive du jour. J’ai séparé le blanc des couleurs. Affligeant. Et dire que j’agis ainsi depuis des années ! Et circonstance aggravante, avec une lessive qui lave plus blanc que blanc. C’est pathétique.

         Comme Monsieur Jourdain dans un autre domaine, j’étais raciste sans le savoir. 
    Du coup, je suis d’une humeur noire. Ça ne va pas arranger les choses. Oh, je savais que je ne suis pas blanc comme neige. J’ai connu des périodes noires. Dans un précédent emploi, on m’avait donné carte blanche. Résultat, j’ai monté une caisse noire. Quelque temps plus tard, alors que j’étais déjà connu comme le loup blanc, j’ai travaillé au noir. Découvert, j’ai essayé de montrer patte blanche, mais j’ai été placé sur liste noire. Et comme disait le chanteur, noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir.

          Alors que faire ? Pour sûr, j’avais mangé mon pain blanc. Je dirais bien que j’ai pleuré à l’arme blanche, mais ça serait de l’humour noir. Alors dans la glace, je me suis regardé dans le blanc des yeux. 
    Pas question de me retrouver dans une misère noire. L’avenir restait une page blanche. Inutile de voir tout en noir ! Je pouvais sortir blanchi de tout ce sombre passé. Finis les noirs projets ! Je serais désormais plus blanc que neige ! Finie la série noire !

          Et patatras, voilà que je me découvre raciste. 
    Mais c’était cousu de fil blanc. Je dois être la bête noire de quelqu’un, c’est sûr. Tout de même, ce sera un jour à marquer d’un caillou blanc. Bon, je ne vais pas tout peindre en noir. D’autant que c’est bientôt la semaine du blanc ! Inutile de broyer du noir. Ni de me faire des cheveux blancs.

        Allez, je vais me servir un petit noir. Et puis non, plutôt un petit blanc. Avec un morceau de chocolat noir. Et un peu de fromage blanc. Ça me remontera. Tiens, il commence à faire nuit noire. Je vais regarder un vieux film. En noir et blanc. Chouette, c’est une version originale, sous-titrée ! Si, c’est écrit dans le programme. Noir sur blanc !
    Ce n'est pas de moi , je l'ai trouvé sur le net !
     
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  •               Depuis quelques temps ma Maîtresse rentre d'un endroit qui sent une odeur bizarre . En plus elle est triste .Elle s'allonge sur le canapé et parle à mon Maître .Je me colle à elle , je sais qu'elle adore cela .Distraitement elle me caresse et me lance un regard émouvant .

                 Je commence à comprendre un peu ce langage humain. je vais essayer de vous expliquer , si vous ne comprenez pas dites le moi .

                 Ses globules rouges et ses plaquettes sont peu nombreux . Cela l'inquiète, un hématologue de l'hôpital l'a appelée au téléphone et lui a posé des tas de questions aux quelles elle a répondu .

                 Un rendez-vous a été pris une première fois pour un myélogramme au sternum qui n'a pas donné grand chose , puis une deuxième fois à la hanche avec prélèvement d'os . Comme elle avait peur à chaque fois , je la sentais bien angoissée.

                  L'hématologue qui la prise en charge est une femme enceinte qui doit accoucher en août .Ma Maîtresse attend les résultats avec impatience mais rien ne vient . L'hématologue l'a oubliée et s'est mise en maladie .

                 Ma Maîtresse est reprise par un remplaçant hématologue depuis 2004 dans ce service .Il lui dit que pour le moment il faut surveiller rien de plus en faisant des prises de sang 1 fois par mois .Le myélogramme ne leur a pas appris grand chose .Ma Maîtresse sait une seule chose : elle n'a pas de cellules cancéreuses , ouf !

                 Que la vie est bizarre , toute sa vie elle a soigné les autres et maintenant c'est son tour ."Quelle sensation bizarre de se trouver à la place du malade " dit elle ,mais elle a comme l'impression que l'hématologue ne lui dit pas tout.

     

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  • tout est dans l'attitude

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  •  Message d’un policier, magnifique et terrible à la fois, qui s’adresse à tous ceux qui ignorent ce que c’est d’être « Flic » ou Gendarme…

    À toi qui craches sur la Police.

    À vous, petits bobos de la capitale et bien pensants des centres villes, qui vous prenez pour les nouveaux prophètes de la morale quand vous n’êtes en réalité que de petits bas êtres voguant à voiles déployées dans les flots du prêt-à-penser.

    À toi, jeunesse de France, qui ne réalise pas la médiocrité dans laquelle tu t’enfonces.

    Toi, confortablement installé à l’abri de toute violence,  à l’abri du quotidien d’un policier, qui te ferait en un instant prendre conscience de la réalité de la vie. En t’y confrontant ne serait-ce que quelques minutes, ce qui serait déjà trop pour ton petit esprit aseptisé.

    Toi…. Oui toi…..!!!

    Enfile mon uniforme de policier et monte dans un véhicule sérigraphié « Police », floqué de nos trois couleurs nationales et tu y découvriras une dure réalité….

    Tu commenceras ta journée par devoir apposer un scellé sur le cercueil d’un nouveau-né. Cela s’appelle une vacation funéraire.

    Ton café du matin prendra tout de suite un goût particulièrement amer.

    Mais ne te démonte pas, cela fait parti du quotidien et d’autres choses t’attendent…

    Tu iras ensuite sur un accident de la route, et tu y verras un gamin de 18 ans, le crâne fracassé sur le tableau de bord, le corps si déformé que tu peineras à croire que ce n’est pas un mauvais rêve. Tu iras sonner, à l’heure du déjeuner, à la porte d’une famille heureuse, qui t’ouvrira avec un sourire se mélangeant aux effluves d’un repas préparé généreusement par l’amour d’une mère pour son foyer; afin de leur annoncer qu’ils viennent de perdre l’être le plus cher à leurs yeux.

    Tu feras face aux hurlements de douleurs de cette maman qui te tombera dans les bras, à la limite d’une hystérie humaine dont l’existence t’était jusque-là bien inconnue.

    Tu repartiras et iras prendre ta pause déjeuner, devant malgré tout garder la tête haute et rester lucide, car d’autres gens comptent sur toi…

    Un appel radio t’enverra récupérer une gamine violée dans une cave, te regardant avec des yeux dans lesquels brille une lueur mêlée de honte et d’humiliation, au reflet d’une âme vidée par la violence et l’inimaginable abomination qu’elle vient de subir.

    Il te faudra trouver les mots pour lui apporter une once de chaleur qu’elle sera de toute façon incapable de recevoir…

    Tu te dirigeras ensuite dans un bel immeuble, à la façade raffinée et à l’intérieur somptueux, frapper à la porte d’une personne âgée, dont les proches n’ont plus de nouvelles.

    En pénétrant à l’intérieur, tu découvriras, au sol, le cadavre d’un homme de l’âge de ton grand-père, décédé dans la solitude la plus totale car délaissé par ceux qui l’entouraient, en état de décomposition avancée. Vision d’un corps que même les films d’horreur les plus crus n’osèrent jamais te montrer.

    Les photos aux murs et les souvenirs en tout genre te feront parcourir malgré toi le fil de sa vie.  Tu plongeras au jour de son mariage, verras les photos de ses enfants et petits-enfants, les anniversaires passés et multiples joies de sa vie, tout en étant l’unique et privilégié témoin de sa fin la plus triste.

    Puis, sortant de l’immeuble, tu iras en soutien d’autres collègues, pris sous les projectiles de jeunes gamins de 15 ans.  Tu sais, ces « chances pour la France », à la violence sans cesse légitimée par leur pauvreté et leur discrimination quotidienne.

    Tu leur feras face, et te feras insulter, toi ainsi que toute ta famille, pour une raison que tu ignores, hormis le fait de représenter un pays pour lequel ils n’éprouvent que haine et désir de vengeance, mais dont les aides sociales leur assurent la tranquillité de la vie qu’ils n’auraient certainement pas dans le pays dont ils revendiquent leurs origines…

    Des boules de pétanque et des machines à laver pleuvront des toits d’immeubles, manquant de te fracasser le crâne à la moindre inattention de ta part, t’assurant une mort certaine en cas d’impact soudain.

    Tu prendras des crachats au visage, te réduisant à l’état d’animal pour ces jeunes qui n’hésiteront pas, lorsque l’occasion se présentera, à te brûler vif dans ton véhicule de service.

    Tu tenteras malgré tout d’en interpeller un, avec la violence que cela implique et qui n’est que la seule réponse possible face à ce que tu reçois.

    Ses amis te filmeront, hurlant d’un ton animal à la bavure policière et diffuseront la vidéo sur les réseaux sociaux, la laissant aux mains de tous les grands cerveaux de la fourmilière Facebook, Twitter, Instagram et j’en passe.

    Tu rentreras le soir, chez toi, embrasseras ton mari ou ta femme et tes enfants avec ce soulagement quotidien de ne pas avoir fini la journée en service de réanimation ou au fond d’une housse mortuaire.

    Tu allumeras ta télé et verras le gratin des personnalités de tous bords cracher sur ton travail, déblatérant leurs théories fumeuses de racisme et de violences policières.

    Tu entendras une petite chanteuse bourgeoise se prenant pour une habitante de cité te dire que toi et tes collègues massacrent chaque jour des hommes et des femmes de couleur lorsqu’ils se rendent à leur travail.

    Alors, tu fermeras cet écran, et repenseras à la journée que tu viens de passer, revoyant chaque scène de ces longues dernières heures.

    Une larme coulera, peut-être…

    Ce jour là, croyez moi, c’est bien honteux envers vous et reconnaissant envers nous que vous vous endormirez, sans danger, paisibles, dans votre linceul de paix, à la vie tranquille ayant pour éternelle dette l’ultime don de celle d’un policier anonyme.

    Nous en avons MARRE !

    Un policier parmi tant d’autres

     

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  • Covid19

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