• L'histoire de France et ses dessous

     

     Louis XIV n’a pris que deux bains dans sa vie : un le jour de son mariage et l’autre, la veille de sa mort. On a dû se demander si cela n’avait pas été la raison de sa mort !!! C’est qu’il a vécu fort longtemps pour l’époque, le vieux renard, 76 ans. et sans douche !

     Alors, to be clean or not to be?

     Les dames faisaient pipi debout les jambes écartées, en raison de leur encombrantes jupes, ça devait quand même éclabousser sur leurs bas et chaussures, et on n’ajoute pas certaines périodes du mois.

     Les escaliers de Versailles servaient de latrines, on se soulageait là où on se trouvait, alors au 17e siècle aussi, on se parfumait beaucoup.`

     - On portait vêtements de satin et bas de soie, sans sous-vêtements. Les changeait-on souvent ?? That is the question....
     
     - Mais l’amour, étant toujours l’amour, les puanteurs, les maladies de peau, les poux et puces et punaises ne gênaient point les effusions. On se grattait mutuellement !!

     Ceci ne figure pas dans les manuels d'histoire.
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  • Commentaires

    1
    Jeudi 16 Juillet 2020 à 13:15
    Sylvie Barbizon
    Oh la la, est-ce véridique tout ça? Je comprends d'où vient notre réputation de gens sales! Bises à toi.
      • Vendredi 17 Juillet 2020 à 08:51

        Ce n'est pas la première fois que je le lis , les gens sentaient mauvais autrefois , surtout les nobles .Mais les paysans se lavaient plus souvent .bon we Sylvie !

    2
    Vendredi 17 Juillet 2020 à 15:45

    Hello Marie-Christine,

    Dans ton précédent billet, et sans avoir lu celui-ci, je te parlais de la cour de Louis XIV : avec les gens sales qui se talquaient pour ne trop puer et poudraient leurs perruques pleines de poux.  J'avais même rajouté un commentaire sur les nuits de noces et leurs effluves...

    Mais quelle horreur si tout le monde faisait ses besoins là où il était... J'avais entendu dire qu'il y avait un noble attaché à la charge du "pot de chambre", c'est à dire que l'ustensile suivait le roi partout. E, cas d'urgence, le porteur de la charge (si j'ose dire), devait accourir avec son pot de chambre, prêt à soulager le royal cul... et à disposer du non moins royal étron. L'histoire ne dit pas ce que le courtisan en faisait ?

    Quant aux bêbetes conviées aux royales (ou pas) effusions plus ou moins libertines, c'est quad même sacrément dégueu. Je n'ose pas y penser et passe mon tour...

    Bizz et bonne fin de journée.

    Gilles 

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